Des stimulations sensorielles constantes, des flux d’émotions fluctuants et parfois torrentiels, un intellect en éveil permanent (y compris la nuit), une empathie incontrôlable, des tentatives d’épanouissement régulièrement déçues, des attachements excessifs, une énergie débordante qui peut se transformer en épuisement, une sensation de vivre en décalage, de ne pas être « sur la même longueur d’onde » que votre entourage…

Si vous vous reconnaissez dans ce descriptif, vous êtes probablement hypersensible.

Et si vous vous reconnaissez comme hypersensible, vous savez combien cette liste est loin d’être exhaustive dans vos particularités !

Depuis quelques temps, une profusion d’informations est accessible (livres, vidéos) permettant d’identifier des comportements, ce qui participe souvent à une compréhension, apportant parfois soulagement et/ou déculpabilisation.
Une fois passée cette première étape, une désillusion surgit : se définir hypersensible ne change rien au quotidien et aux difficultés ressenties.

Forte de plus de 15 ans d’accompagnement holistique d’enfants et adultes hypersensibles, mon propos ouvre la voie d’un chemin de reconnaissance, concret, efficace, qui place la question du corps (et de la relation corps / esprit) au centre du sujet, pour :

• cesser de subir les conséquences de la sur-stimulation par une approche corporelle et énergétique : transmission de routines corporelles et de pratiques simples à intégrer dans son quotidien 
• identifier les stratégies inconscientes blessantes qui renforcent incompréhension et isolement 
• rencontrer, retrouver son corps, son souffle, son espace, son ancrage pour se sentir « ici et maintenant » 
• reconnaître et accueillir ses émotions 
• être en relation à Soi pour vivre la relation à l’autre (l’affect et le social) 
• (re) découvrir la richesse et la beauté de son hypersensibilité

En ce sens, je vous soumets trois propositions ↓